Amères, femmes ventres et bras et cœurs
chargées d’enfants, de cuisine, d’amour et d’abris.
Amer le sort que les hommes infligent à l’Homme,
aveugles à la sève, au sang, à l’eau qui baigne,
au tendre, au ténu, au vibrant, au rire...
Amères la puissance et la perversité,
sans limite l’horreur et la course à la mort infligée.
F.D.
Toute guerre fait souvent plus de mal aux non-combattants qu'aux combattants.
Parmi les premiers, ce sont les femmes qui souffrent davantage, ayant à protéger non seulement leur vie mais aussi celle des autres.
Ici la femme, cible et martyre des bombardiers, est donc réduite à un visage torturé, à ses seins nourriciers, à ses mains protectrices de l'enfant.
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