Vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir
en cliquant à nouveau vous revenez à l'état initial.
D’une part pare que les satires y sont autant de témoignages qu’une conscience de situation collective s’impose au cours de la veille (c’est la définition de celle-ci), d’autre part, et surtout, parce que les songes eux mêmes sont une manifestation d’appartenance à l’humanité en général avant d’être celle d’une complexion particulière.
Je suis sûr que nous nous ressemblons tous beaucoup plus que nous le pensons, et spécialement dans ce qui dessine notre espace intérieur et que nous croyons si intimement lié à notre être individuel.
A la croix des chemins perdus
Ces dessins retracent tous des visions effectivement apparues dans mes rêves, et, spécialement pour les premières séries dans des rêves récurrents.
Il faut préciser les limites des suggestions oniriques : elles dictent le cadre spatial, la disposition d’ensemble, la structure de la vision, non les détails, qui «remplissent» des «cases» senties comme «occupées» par des présences (»instances»?), et que j’ai inventées en fonction de l’humeur (habituellement satirique) qui m’habitait lors de la remémoration du rêve.
C’est pourquoi il y aurait quelque injustice à considérer comme purement nombriliques de telles compositions.